Pomone, c’est avant tout une histoire de famille.

Pomone, c’est avant tout une histoire de famille.

Pomone, c’est avant tout une histoire de famille.
En 1850 (déjà !), Pierre-Maxime poussait sa carriole dans les rues du village de Vaugirard, pour vendre sa production de fruits, de légumes et d’œufs.

C’était un « jardinier », selon les termes de l’époque

C’était un « jardinier », selon les termes de l’époque. Ses méthodes de production artisanale, respectueuses du rythme naturel de la terre, rappellent çà et là les principes actuels de la « permaculture ».  Avec l’urbanisation galopante, les terres agricoles se sont éloignées des portes de Paris. La famille Sarazin part s’installer du côté de Groslay – Montmorency pour y pratiquer l’arboriculture, le maraichage et la
viticulture.
Mais la crise du phylloxéra du début du XXe siècle a eu raison des vignes familiales. L’activité se concentre sur la pomme et la poire, dans le but de nourrir le « Ventre de Paris ».

De la transformation du fruit à la pâtisserie

Dans les années 1950, la France se modernise. Le développement des villes grignote peu à peu les terres cultivables de la grande couronne parisienne. Il faut de nouveau penser à partir. Charles Sarazin se tourne vers l’Anjou, le berceau de nombreuses variétés fruitières. Il acquiert des terres sur le lieu-dit La Cochetière, à Champigné, sur lesquelles il développe une production arboricole de grande ampleur.

En 1989, nouveau rebondissement. La France subit une grave crise de surproduction. En parallèle, de nouveaux besoins apparaissent en pâtisserie et en restauration professionnelle. François Sarazin décide alors de diversifier l’activité. Une fois cueillis, certains fruits sont épluchés, tranchés et livrés en produits « prêts à cuisiner ». Puis c’est la naissance de Pomone, en 1992, qui rassemble le savoir-faire historique de la famille Sarazin avec celui de la pâtisserie artisanale.