L’amélioration du revenu des agriculteurs s’organise autour des huit points suivants :
– Détermination du prix par les agriculteurs en prenant en compte le véritable coût de la production. À travers un regroupement de producteurs, ceux-ci pourront participer activement à la fixation du prix.
– Mise en place d’indicateurs de référence pour les coûts de production et les indicateurs de marché afin de favoriser les négociations commerciales
– Etablissement d’une procédure de contrôle et de sanction pour les cas de non-respect des dispositions législatives. En parallèle, une consolidation de la médiation pour une meilleure efficacité
– Ouverture à des renégociations pour les hausses de prix des matières premières et de l’énergie
– Octroi du pouvoir de légiférer par ordonnance au gouvernement pour les cas de revente à perte
– Mise en place d’un seuil minimum toléré pour la revente des reventes des denrées alimentaires (10 %). Cette mesure fait l’objet d’un essai de deux ans. Elle devrait permettre le rééquilibrage des marges des agriculteurs
– Une mesure d’encadrement en volume et en valeur pour les promotions. Cette mesure vise à mieux rémunérer les agriculteurs et les PME agroalimentaires.
– Mise effectivité de la prohibition de prix de cession abusive à travers une ordonnance.
5 points ont été relevés sur les conditions sanitaires et environnementales de production.
– Fin de l’utilisation de tous les produits nocifs, notamment les néonicotinoïdes, pour la biodiversité et les abeilles
– Produits phytosanitaires : distinctions entre les opérations de vente et de conseil.
– Prohibition des promotions, rabais ou remises pour ces types de produits afin de mieux réguler leur utilisation
– Le dioxyde de titane suspendu dans la fabrication de produits alimentaires pour des raisons nutritives
– Mise en place d’une mesure de protection pour les personnes habitants aux alentours des zones à traitement phytos.
La loi protège et assure le bien-être animal et prévoit des changements durables :
– Les produits d’origine bio devront comporter 50 % de produits durables à partir du 1er janvier 2022
– La lutte contre le gaspillage alimentaire sera renforcée
– Dans les restaurants et débits de boissons, les clients peuvent désormais emporter les restes de leur repas
La protection de l’environnement fait partie des points importants de cette nouvelle loi.
– Restauration collective et collectivités locales : plus de contenants alimentaires de cuisson ou de réchauffe en plastique à partir de 2050
– Restaurants, cantines et commerces : les touillettes et pailles en plastiques seront interdites à partir de 2022
– Cantines scolaires : plus de bouteilles d’eau en plastique à partir de 2020
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